La Madraza, le centre d’art de l’université de Grenade, accueille l'exposition de María Dávila, "J’ai appris à me voir à travers leurs yeux", centrée sur sa récente série de pastels.
À l’occasion du prix indépendant décerné par art-exprim lors la 69e édition de Jeune Création, l’association invite l’artiste Marcos Uriondo à présenter son travail lors d’une exposition monographique intitulée "Lilies of the Valley".
Au milieu des années 1990, le peintre Stéphane Belzère (né en 1963), nourri de cultures française, suisse et allemande, décide d’installer son chevalet dans la salle dite des "Pièces Molles" du Museum national d’Histoire naturelle à Paris. C’est là le départ d’une aventure picturale qui durera jusqu’à aujourd’hui, au fil de laquelle l’artiste va habiter sa toile d’un motif récurrent, sinon obsessionnel : le bocal. Sujet de nombreuses variations, le bocal est accumulé, prodigieusement agrandi, traversé par le regard de l’artiste – y compris depuis l’intérieur du contenant – jusqu’à devenir un immense paysage indéchiffrable.
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris la disparition d’Ivan Lubennikov survenue dimanche 3 octobre en Russie.
Trente ans après la chute de l'Union soviétique, le Gropius Bau propose une exposition de groupe intitulée "The Cool and the Cold/Painting of the USA and the USSR 1960-1990/Ludwig Collection", qui réunit des peintures des deux axes du pouvoir politique mondial créés pendant la guerre froide.
Pensée comme une réflexion autour de la place de l'art dans la vie quotidienne et de la vie quotidienne comme une des conditions de création, l'exposition "Curiosités Vagabondes" a pour point de départ la vie quotidienne, les objets que nous utilisons chaque jour sans les voir vraiment, les situations si anodines qu’elles nous indiffèrent.
Après "The Shape of Time", sa présentation inaugurale de la collection, le Centre Pompidou × West Bund Museum Project dévoile dès l’été 2021 et jusqu’à début 2023 le second chapitre de son parcours semi-permanent intitulé "The Voice of Things". Réunissant des œuvres emblématiques des avant-gardes du début du 20e siècle, témoignages de la révolution des normes esthétiques et du statut même de l’œuvre d’art, jusqu’à celles de la création la plus récente interrogeant notre monde globalisé, ce nouveau parcours révèle l’importance de l’objet dans l’histoire de la modernité.
Le Musée Russe célèbre le 70ème anniversaire d’Ivan Lubennikov en lui consacrant une exposition personnelle qui reflète un large éventail des sujets qui passionnent l’artiste, à partir d’un ensemble de plus de soixante œuvres des années 1980 à nos jours.
Suite à sa participation remarquée à la 69ème édition de Jeune Création en 2020, Marcos Uriondo s’est vu décerner le prix indépendant de la Galerie du Haut Pavé qui accueille sa première exposition personnelle dans ce lieu historique dédié à la découverte de jeunes artistes contemporains.
La Fondation Fiminco accueille la 69e édition de Jeune Création qui présentera un paysage subjectif de la scène artistique émergente, à travers les projets originaux d’une sélection d’artistes internationaux.
Le Macro Asilo reçoit Sergio Ceccotti pour une présentation de son œuvre en forme d’autoportrait, précédée d’une intervention du critique d’art Lorenzo Canova.
Jean-Marie Oger est très heureux d'annoncer sa collaboration avec Marcos Uriondo désormais représenté par la galerie.
Décliné en peintures, sculptures ou installations, le travail de Marcos Uriondo s’inscrit dans le genre du paysage qu’il développe - comme on dit en langage informatique – en utilisant au préalable des outils de manipulation d'images.
Le Musée Emile Verhaeren expose une série d’aquarelles de Michael Bastow sous la forme d’un dialogue avec le recueil "Belle Chair" du poète belge Emile Verhaeren qui se distinge par sa sensualité et sa glorification du nu féminin.
Pour la première fois, le Kunsthaus Interlaken réunit dans une exposition commune des œuvres du peintre Jürg Kreienbühl et celles de son épouse Suzanne Lopata et de leur fils Stéphane Belzère.
Célébrant les soixante années d’activité du peintre, le Palazzo delle Esposizioni de Rome accueille l’exposition "Sergio Ceccotti. Il romanzo della pittura 1958-2018" sous le commissariat de Cesare Biasini Selvaggi.
L’artiste suisse Jürg Kreienbühl (1932-2007) est arrivé en France après un apprentissage comme peintre en bâtiment à Bâle. C’est dans les bidonvilles de la banlieue parisienne qu’il s’installe et peint pendant une décennie les migrants, les gitans et les marginaux. Il a travaillé dans différents médiums (peinture, dessin, gravure, lithographie) pour décrire, dans une veine très réaliste, la vie dans les marges de la société, la pollution industrielle des bords de mer et les centrales électriques, les mondes perdus d’une fabrique de saints pour église ou le Museum National d’Histoire Naturelle.
"Post scriptum" est le titre de la nouvelle série de peintures de María Dávila qui traite de la nature représentationnelle des relations humaines, entre les individus et eux-mêmes, et les individus et les autres. A travers un dialogue avec le cinéma et le théâtre, les peintures soulignent la construction narrative à la base de toute relation, exprimée par une traduction en langage et une interprétation discursive de l’expérience vécue.
Pour la nouvelle édition du festival d’art contemporain FACBA17, María Dávila a été sélectionnée pour travailler sur un projet basé sur les collections de l’Université de Grenade. Après avoir choisi un album de photographies anonymes des années 1940-1960, elle a réalisé une série de dessins et de peintures qui explorent les relations entre la reproduction photographique et l’œuvre d’art, entre réalité et fiction.
Jean-Marie Oger est très heureux de représenter l'artiste espagnole María Dávila.
María Dávila travaille par série, chacune étant le résultat d’une rigoureuse recherche basée sur un matériau photographique ou cinématographique: archives familiales, images issues de films ou de documentaires. Par l’appropriation d’autres langages visuels, elle explore les limites du visible et les frontières entre réalité et fiction.
"Everybody is crazy, but me" célèbre le 5ème anniversaire de la Maison Particulière. Pour la première fois, les œuvres exposées proviennent d’une seule collection : celle des fondateurs du lieu.
Le verbe faire (+ .s) est devenu pour moi non seulement le titre de cette exposition mais également celui d’un projet à long terme. J’ai souhaité traiter de la technique et du geste sans lesquels rien ne peut se réaliser. Le geste qui permet d’élaborer la pensée d’un moment ou d’une vie. Le geste qui permet de s’accomplir même sans dire un mot.
Yves Sabourin, curator
Tables et festins montrent le plaisir du partage spirituel ou épicurien. Une rencontre étonnante et festive entre peintures anciennes et bande dessinée, née du désir de mettre en résonnance deux arts "raconteurs d’histoires".
Sergio Ceccotti est depuis plusieurs années une référence de la peinture figurative italienne. Issu de la "tradition métaphysique" du début du 20ème siècle, il est maintenant un "avant-garde" à l’aube du 21ème siècle. Dans les œuvres montrées dans cette exposition sous le commissariat de Massimo Scaringella, l’artiste exprime le besoin d’entrer, presque toujours furtivement, dans les "moments intimes" de notre réalité quotidienne.
Le Centre d’Art Contemporain de Málaga présente "Neighbours III" dans la collection permanente du musée. Sous le commissariat de Fernando Francés, l’exposition rassemble le travail d’artistes pour qui la ville de Málaga est un point de référence.
Jean-Marie Oger est très heureux de représenter l'artiste néerlandais Maarten Demmink.
Depuis ses premières œuvres jusqu’à ses séries les plus récentes, son travail qui se réfère au genre du paysage oscille entre visions paradisiaques et post-apocalyptiques dans différents médiums : peintures, sculptures murales, mixed media et photographies mises en scène.
Sous le commissariat de l’artiste Chris Stevens, cette exposition, organisée par le Sainsbury Center, rassemble plus de cinquante œuvres d'art célébrant la vitalité de la peinture britannique, en regroupant les artistes les plus influents des soixante dernières années.
De "icône" à l’anglais "icon", de l’image sainte au signe visuel, de l’image sacrée et vénérée au symbole, le 14ème accrochage de la Maison Particulière interroge aussi bien les significations mentales que les figures emblématiques des icônes.
En 1981, Jürg Kreienbühl accepta l’invitation d’un ami peintre de visiter la Galerie de Zoologie du Jardin des Plantes. Il avait déjà exécuté un ensemble de peintures dans la Galerie d’Anatomie comparée une dizaine d’années plus tôt. C’était, depuis 1965, un lieu fermé au public à cause de son état de délabrement, au grand désespoir des chercheurs du Muséum.
Sous le commissariat de Cesare Biasini Selvaggi, le Casino del Principe des Musées de la Villa Torlonia consacre une exposition au peintre romain, Sergio Ceccotti, précurseur de la révolution dans la peinture italienne au cours des trente dernières années.
L'exposition est centrée sur la période des années 60/70 du peintre Jürg Kreienbühl (1932-2007) qui, après avoir quitté Bâle et sa Suisse natale, va "s'installer" dans les bidonvilles alors nombreux dans le quart nord-ouest de Paris (Argenteuil, Colombes, Bezons, Gennevilliers, Carrières-sur-Seine, Nanterre).
Sous le commissariat de Stella Bottai, LaStellina Arte Contemporanea présente "Capolinea 19", une exposition de Sergio Ceccotti, accompagnée de textes issus du roman "19" d’Edoardo Albinati. Le thème commun de cette exposition est l’itinéraire du tram historique 19 qui traverse Rome depuis le centre-ville jusqu’à la périphérie.
Dans le cadre de sa collaboration avec la Fondation Edouard et Maurice Sandoz, le Musée d’art de Pully accueille l’oeuvre du lauréat du Prix FEMS 2011, Stéphane Belzère.
C’est après avoir visité une exposition au Louvre consacrée aux cours impériales françaises et chinoises au XVIIIème siècle que j’ai débuté cette série.
J’ai été particulièrement frappé par les portraits de l’empereur Qianlong (et plus tard par ceux de son épouse l’Impératrice Xiao Xian) peints par le jésuite Giuseppe Castiglione. Ce sont des portraits de face, sans modelage ni clair-obscur puisque l’Empereur pensait qu’ils rendaient son visage sale, avec une attention portée aux détails et aux tissus typique de la peinture de la Renaissance. Il y avait également une impressionnante série de portraits de chevaux que l’Empereur avait reçus en cadeau.
Michael Bastow
Le Frac Franche-Comté propose de découvrir une sélection de peintures figuratives issues de ses collections, interrogeant la richesse et la permanence de ce médium.
Les références furent nombreuses, les mots se bousculèrent, les œuvres se révélèrent souvent troublantes, Rouge déchaina les passions. Et pourquoi s’attendre à autre chose ? Rien n’est anodin lorsque l’on évoque le rouge.
L’exposition "Sacré blanc ! Hommage à Thomas Gleb (1912-1991)" invite une cinquantaine d’artistes contemporains sur le thème du blanc et du sacré, dont les créations seront mises en regard de l’œuvre de Thomas Gleb.
Le BP Portrait Award est un prestigieux prix récompensant le meilleur du portrait contemporain en peinture à travers le monde dans une variété de styles et d’approches. L’édition 2012 présente cinquante-cinq œuvres sélectionnées dont "AKA Irish Frank" de Ray Richardson.
Pour célébrer le 60ème anniversaire du peintre, une exposition rétrospective intitulée "The Price of Freedom" est organisée à la Maison Centrale des Artistes, accompagnée de la publivation d’un ouvrage deux volumes sur le travail son travail : objets architecturaux, peintures, récits.
Sous le commissariat de Marc Donnadieu, l’exposition "Doublures" présente une sélection de dessins, sculptures, photographies ou vidéos utilisant du coton ou du tissu, issus de la collection du FRAC Haute-Normandie.
Le Musée d’Évreux et le Fonds Régional d’Art Contemporain de Haute-Normandie s’associent pour présenter à l’Ancien Évêché une exposition intitulée "Memento Mori (jusqu’à que la mort nous rassemble…)". Sur le modèle du cabinet de curiosités, celle-ci rassemblera, autour des thèmes du deuil et de la mort, des oeuvres appartenant au Musée, au Frac et à des collections privées.
Peintre anglais né en 1964, Ray Richardson présente ses œuvres récentes à la galerie Alain Blondel pour la première fois depuis six ans. Le titre de cette exposition, “Music for pleasure”, est une référence ironique à quelques albums musicaux de style "easy listening" des années 1970. Façon de rappeler que la peinture est un plaisir visuel qui vaut aussi par les réactions, les émotions et la réflexion qu’elle doit susciter.
"Icônes et autres re-créations" exprime la fascination de Michael Bastow pour le corps des femmes ; ces femmes qu’il couche au pastel doux sur des papiers à la forme, chauds et froissés. Comme des draps après l’étreinte.
Le centre d’art Chapelle Saint-Jacques présente "Reflets nocturnes", les autoportraits que Stéphane Belzère exécute lors de ses séjours réguliers à Berlin depuis 12 ans. Près de 400 tableaux de petits formats, soit l’ensemble presque complet de cette série commencée en 1996, sont réunis pour la première fois.
Lauréat en 2003 du concours lancé par le ministère de la culture et de la DRAC Midi-Pyrénées, Stéphane Belzère a réalisé un ensemble de vitraux pour la cathédrale de Rodez dans lequels il a tenté de formuler l’image de Dieu et des Saints dans un langage plus contemporain.
Première rétrospective en France, sous le commissariat d'Héléna Bastais, de l'artiste bâlois Jürg Kreienbühl installé en banlieue parisienne : une soixantaine d'œuvres racontent les banlieues et les bidonvilles, les bords de mer industriels et les centrales nucléaires, les trésors à l'abandon du Museum d'Histoire naturelle et la vie des immigrés et marginaux que le peintre a côtoyés.